Alan Lake est un chorégraphe, réalisateur et artiste en arts visuels, reconnu pour la profondeur de ses œuvres ainsi que leur richesse esthétique. Avec ses propositions audacieuses et saisissantes, il recueille une grande reconnaissance ici comme à l’international, conquérant un public toujours plus vaste.
Charles-Frédérick Ouellet est un artiste visuel dont la démarche prend forme dans une recherche de terrain. Cherchant à repousser les limites de la photographie et de la vidéographie documentaires, il bénéficie d’une grande reconnaissance, notamment à titre de lauréat 2024 du World Press Photo.
Poète, romancière, essayiste et nouvelliste, Valérie Forgues a su conquérir à la fois le cœur des lecteurs et l’estime des critiques. Très impliquée dans le milieu littéraire, elle assume avec sensibilité et ouverture divers rôles tels que directrice littéraire, mentor ou critique.
Conteuse depuis plus de vingt ans, Arleen Thibault a conquis un large public à travers toute la francophonie. Issue des arts traditionnels et des arts de la scène, elle a forgé au fil du temps un vaste répertoire de contes, qu’elle livre avec beaucoup d’humour et de générosité.
Vincent Lambert est un poète et essayiste dont les œuvres cherchent à exprimer l’unité du monde, du vivant et de l’esprit à travers une démarche philosophique d’une grande profondeur. Actif dans le milieu littéraire à titre de critique et de chroniqueur, il s’implique également dans sa région pour partager sa passion de la poésie.
Musicienne professionnelle depuis plus d’une décennie, Emilie travaille au Québec et au Texas en tant qu’auteure-compositrice-interprète. Ses textes de chansons, d’une grande maturité, mélangent intelligemment questionnements, mélancolie et douleur sereine.
L’ensemble des réalisations de Geneviève Dufour est impressionnant. Son rôle est incontestablement vital pour l’écosystème de la Capitale-Nationale, tant en tant qu’organisatrice d’événements qu’en tant qu’écrivaine.
Née en 1994, Geneviève Dufour est poète, autrice et travailleuse culturelle. Elle participe activement à la vie culturelle de sa ville natale, Québec, en y insufflant une poésie incarnée et revendicatrice qui demeure enracinée dans le quotidien et qui emprunte un langage à la fois vivant et coloré malgré des thèmes parfois difficiles. Les événements qu’elle crée font briller la scène littéraire de la Capitale-Nationale Ils sont rassembleurs et novateurs. Ils remodèlent les frontières de sa discipline tout en demeurant accessibles au public.
Rosalie Cournoyer brille autant en médiation culturelle que dans son milieu des arts vivants. Sa nomination souligne son fort engagement dans la communauté et son talent, d’ailleurs reconnu par ses pairs.
Née en 1994, Geneviève Dufour est poète, autrice et travailleuse culturelle. Elle participe activement à la vie culturelle de sa ville natale, Québec, en y insufflant une poésie incarnée et revendicatrice qui demeure enracinée dans le quotidien et qui emprunte un langage à la fois vivant et coloré malgré des thèmes parfois difficiles. Les événements qu’elle crée font briller la scène littéraire de la Capitale-Nationale; ils sont rassembleurs et novateurs. Ils remodèlent les frontières de sa discipline tout en demeurant accessibles au public.
Par son travail de réactualisation des archives et son rôle de médiatrice culturelle, Izabelle Desroches a su prouver qu’elle est un maillon essentiel du milieu des arts de Québec.
Avec ses œuvres qui prennent différentes formes, allant de la photographie à la performance, en passant par les installations ou l’édition, Izabelle Desroches propose un travail artistique où la rencontre de l’autre occupe une place centrale afin de dénicher des lieux communs. Titulaire d’un baccalauréat en Arts Visuels et médiatiques à l’Université Laval, cette artiste et travailleuse culturelle qui demeure à Québec est récipiendaire du prix René-Richard décerné par l’école d’art de l’Université Laval ainsi que de plusieurs bourses Première Ovation, en mentorat et en création de projets.
Gabriel Samson I prouve qu’iel est un.e artiste phare de Chaudière-Appalaches et qu’iel est très engagé dans son milieu culturel autant que sur son territoire. Le jury souligne la richesse de son oeuvre et de ses sujets, la qualité de ses motivations ainsi que son travail sur la langue.
Artiste de la région de Chaudière-Appalaches, Gabriel Samson I reçoit son diplôme en Jeu au Conservatoire d’art dramatique de Québec en 2021. Faisant partie de la programmation officielle de la Charpente des Fauves, Gabriel a écrit, interprété et mis en scène son premier spectacle solo Un chien en laisse qui jappe, lors d’une résidence à la Maison natale de Louis Fréchette. Intégrant la poésie, le slam, le rap et le monologue à sa pratique artistique, Gabriel Samson I continue de travailler sur un second spectacle solo, Le Québec est un pays scandinave, célébré d’une Mention spéciale des Productions Rhizome. Récipiendaire de la bourse pour les artistes de la relève de la Ville de Lévis, il s’ancre dans les thématiques générationnelles et les traduit de façon percutante, utilisant une approche à la fois acerbe et sensible.
Tania Hillion bénéficie d’un rayonnement local et international qui force l’admiration. Le jury souligne que plusieurs de ses projets s’inscrivent dans une belle continuité, tout en faisant montre d’une perpétuelle évolution.
Tania Hillion est une artiste franco-canadienne née en 1978 en Normandie et établie depuis 2018 à L’Islet. C’est dans cet environnement à la nature préservée, inspirée par une communauté artistique dynamique qu’elle trouve les conditions propices à initier en autodidacte sa pratique artistique. Son travail a pour fil conducteur la mémoire individuelle et collective. Sensible à la condition humaine, ses peintures à l’huile et ses murales explorent la notion d’identité et témoignent des défis de notre époque empreinte de profondes mutations.
Le jury souligne la démarche singulière et unique de Sandra Giasson-Cloutier, une artiste qui fait montre d’une grande douceur et d’une belle fragilité. Le jury souligne également son impressionnante implication au sein de la MRC de L’Islet.
Sandra Giasson-Cloutier est une artiste visuelle de St-Cyrille-de-Lessard dont la pratique s’articule autour de l’art textile, avec des matières récupérées, et de la performance en milieu naturel, tout en visitant le collage, l’écriture et la photographie. Elle transforme ses expériences de vie significatives en rituels par le biais de l’art et d’une connexion profonde à la nature. Elle est titulaire de baccalauréats en arts visuels (Laval, 2023) et en études littéraires (UQAM, 2007), et d’un certificat en animation culturelle (UQAM, 2009). De plus, elle est médiatrice culturelle, animatrice et organisatrice d’événements.
À travers ses créations céramiques, Étienne explore une esthétique à la fois moderne et intemporelle. L’emploi d’argiles teintées et naturelles confère une profondeur inattendue à des formes traditionnelles.
Étienne Chassé, céramiste originaire de Québec, a étudié en Studio Art à l’Université Concordia (2016-2020). C’est lors de ce BAC qu’il découvre la céramique et décide de s’investir à temps plein dans ce médium. Étienne a continué son parcours à la Maison des métiers d’art de Québec dans le but de peaufiner sa maîtrise technique de la céramique. Il obtient son diplôme en techniques de métiers d’art, option céramique en mai 2023. C’est en travaillant pour d’autres céramistes entre Québec, Montréal et les Îles-de-la-Madeleine depuis 2019, qu’Étienne puise les compétences supplémentaires pour approfondir sa pratique.
Le travail de Caroline, céramiste, se caractérise par une série de pièces cohérentes et abouties, à la fois esthétiques et techniquement maîtrisées. Ses créations possèdent un style et une identité uniques.
Caroline Dubois, céramiste établie à Saint-Tite-des-Caps, est diplômée de la Maison des métiers d’art de Québec en 2021. Cette même année, elle est également lauréate du prix Le Vivoir et du prix de l’Association des céramistes du Québec. Récemment elle a fondé son entreprise et continue de développer sa pratique artistique à travers diverses expositions et collaborations. Son travail reflète une quête constante d’excellence et d’exploration dans l’univers de la céramique contemporaine.
Catherine Valois est une céramiste très active depuis la fin de ses études. Son travail doux et poétique présente une cohérence remarquable, tant dans les pièces sculpturales que fonctionnelles.
Catherine Valois (Caval) est une artiste céramiste qui vit et travaille à Québec. Elle est diplômée de la Maison des métiers d’art de Québec – option céramique, depuis 2021. Ses oeuvres sont diffusées à la Galerie Lewis, au Centre Materia, à la Maison Tessier Dit-Laplante et dans deux expositions collectives, satellites de Manif d’art 11. Elle est récipiendaire de trois bourses Première Ovation.
Pour son exposition « Constellation de corps flottants », présentée à l’Institut Canadien – Bibliothèque Félix-Leclerc.
Artiste multidisciplinaire d’origine franco-gabonaise, Sarah Toung ondo est une touche-à-tout qui aime explorer les médiums, principalement le textile, la photographie, l’installation et la médiation artistique. Ce goût pour le protéiforme lui permet de questionner les liens entre l’art, l’intime et la société par le prisme du métissage culturel.
Crédit : Dominic Tremblay Fournier
Pour son exposition « Ce qu’il en reste », présentée à la Galerie des arts visuels.
Danielle Cormier vit et travaille à Québec. Sa pratique s’articule autour des procédés d’empreinte et de moulage, principalement en sculpture. Cette dernière pourrait se diviser en deux temps : elle se concentre d’abord sur les techniques de fabrication organiques et sur les matières évolutives, pour ensuite s’adresser à l’espace architectural, qu’elle cherche à actualiser par la présentation des objets.
Crédit : Delphine Egesborg
Pour son exposition « En eaux troubles », présentée à l’Institut Canadien – Bibliothèque Aliette-Marchand.
Jean Michel René est un artiste multidisciplinaire qui vit et travaille à Québec. Depuis 2017, il développe un corpus d’œuvres vidéo, photographiques, performatives et installatives où convergent le corps, la durée, l’image et le paysage. Sa recherche artistique, intime et introspective, se concentre essentiellement autour de sa propre expérience de vie et de la notion d’existence.
Crédit : Vincent Roy
Pour son exposition « Lieux improbables », présentée à la Galerie.a.
Depuis plus de 25 ans, Ève Cadieux multiplie les expériences liées à l’image photographique. À travers ses recherches, elle réfléchit à l’obsolescence accélérée des choses et des lieux. Elle revisite notamment le phénomène des Expositions universelles, en circulant en Amérique du Nord, en Europe et en Asie, afin de trouver ce qu’il reste de ces événements rétrofuturistes.
Pour son exposition Trame-Hatch, présentée à la Galerie des arts visuels.
Originaire de Québec, Magali Hébert-Huot a présenté son travail au Québec, au Canada et aux États-Unis. Elle détient un MFA du Maryland Institute College of Art de Baltimore (2015) et un BFA de Emily Carr University of Art and Design, à Vancouver (2009). Elle a une pratique en atelier rigoureuse, enquêtant et synthétisant ses intérêts pour la sculpture, l’architecture, l’histoire et la théorie queer.
Crédit : Renaud Philippe
Pour exposition Exsiccatae, présentée au Centre d’exposition Louise-Carrier.
Natif de London, en Ontario, Bill Vincent vit et travaille à Québec depuis 1975. D’abord graveur sur bois, puis peintre, il a réalisé vingt-trois projets d’intégration des arts à l’architecture à travers le Québec. Récompensé par de nombreuses bourses et prix, ses œuvres ont été exposées au Québec, au Canada et à l’étranger.
Pour la réalisation d’un projet de mentorat répondant aux besoins du milieu, générant un nouveau partenariat et une nouvelle formule.
L’Espace culturel du Quartier Saint-Nicolas a mis en place un programme qui répond aux besoins exprimés par le milieu. La vidéo-documentaire a eu un impact significatif pour les artistes mentorés. Une nouvelle collaboration avec l’Université Laval est née. Finalement, soulignons la grande variété des expositions, l’implication remarquable pour soutenir la professionnalisation des artistes de Chaudière-Appalaches ainsi que l’amélioration des conditions de pratique des artistes visuels.
Pour la place qu’il occupe dans l’écosystème culturel et son rôle vital dans la communauté, et ce, depuis 20 ans.
Le Vieux Bureau de Poste affiche un nombre record de spectateurs et propose une offre artistique riche et variée à un auditoire toujours plus large. On souligne la qualité des stratégies de développement et de fidélisation de public, l’accroissement de la visibilité et de la notoriété de l’organisme, leurs nombreux projets de médiation et développement de publics ainsi que leur pratique exemplaire en développement durable et inclusion. On reconnaît aussi leur rôle d’acteur économique central au sein du secteur Saint-Romuald.
Pour leurs démarches de professionnalisation en vue de la pérennité de l’organisme, pour l’offre de cours unique et diversifiée et pour le remaniement de leur image de marque.
Cette deuxième coopérative artistique au Québec offre des cours en arts visuels et métiers d’art, unique à Lévis et les environs. L’école Solidartis est en nomination pour les démarches de professionnalisation réalisées en peu de temps et avec une grande rigueur pour la pérennité de l’organisme. Signalons aussi leur changement pour d’identité, la nouvelle signature graphique et l’obtention, pour une première année, de subventions.
Pour « La forêt enchantée » au Centre communautaire de la Pointe-de-Sainte-Foy : cette généreuse œuvre d’art public intégrée à une façade révèle une qualité de dessin des végétaux du boisé Neilson, des jeux de surépaisseurs en couleurs et de finis en aluminium, et une référence à l’architecture par ses formes en saillie.
Né à Québec, Laurent Gagnon détient une maîtrise en arts visuels de l’Université Laval (2002). Animé autant par l’objet que par l’image en accumulation, il concentre depuis quelques années sa pratique artistique sur la création et la réalisation d’œuvres d’art public sous toutes ses formes : de l’installation pérenne à des formes plus éphémères.
Pour « Le contour de nos souvenirs » à la Maison des aînés et alternative de Lebourgneuf. Avec deux sculptures dans les cours intérieures et une photographie dans le hall d’entrée, le duo présente un ensemble cohérent, poétique et très sensible envers la clientèle par son accessibilité, son côté tactile et sa référence à la mémoire dans la dimension narrative propre à leur démarche artistique.
Pierre Brassard et Marie-Pier Lebeau Lavoie forment depuis 2008 le duo Pierre&Marie. Ils consacrent une importante partie de leur pratique à l’art public avec des œuvres d’art intégrées à l’architecture ou à l’environnement. Leur parcours reflète une volonté de proposer des expériences uniques qui placent le spectateur au cœur de leurs préoccupations.
Pour l’implantation du Cinéma Beaumont, qui constitue un tournant majeur dans la vie de l’organisme et pour son ancrage et son rôle au cœur du milieu du cinéma indépendant à Québec.
Antitube est fondé en 1995 avec la volonté d’offrir aux publics de la ville de Québec une programmation annuelle et constante d’événements à caractère cinématographique qui sortent du parcours commercial et mettent en valeur les productions indépendantes. Son mandat implique notamment de sortir les oeuvres indépendantes de leur circuit Traditionnel.
Pour son rôle central dans le développement des différentes composantes du milieu de la danse à Québec. Le jury souligne notamment le projet Archipel qui permet de développer des collaborations avec des partenaires étrangers et favorise le rayonnement de danseurs et chorégraphes de Québec.
Le Groupe Danse Partout a été fondé en 1976 avec la mission d’œuvrer à la vitalité et à l’excellence de l’art de la danse au Québec par le soutien à l’action de ses divisions et par l’appui au développement régional de son écosystème. Il se compose de trois divisions : L’École de danse de Québec, La Rotonde et la Maison pour la danse.
Pour les résultats exceptionnels dans le cadre de son 30e anniversaire et son soutien indéfectible à la relève théâtrale. Le jury tient à souligner ses efforts auprès du milieu privé qui se sont traduits par une campagne de financement record.
Fondé en 1994 par trois collectifs de la relève, Les Enfants terribles, le Théâtre sortie de secours et le Théâtre du Mana, Premier Acte a comme mandat de soutenir l’émergence théâtrale québécoise par la diffusion de leurs œuvres associée à un encadrement professionnel et une aide à la gestion.